top of page

LULU de Franz Wedekind

 

Presse

"La Compagnie de la Lettre 5 nous revient cette fois avec une pièce tout à fait troublante, du théâtre monumental aussi tragique et aussi dur moralement pour Lulu que Tramway nommé Désir l’était pour Blanche. À la fois forte et fragile. Et c’est joué de manière magistrale par tous les acteurs, tout spécialement Stéphanie Ribeyreix qui ne quitte la scène que pour changer de costume dans cette pièce sans entracte..." Jacqueline Mallette, Montréal157

"Avec l’aide de la peintre collagiste India Evans, René Migliaccio présente une version très moderne de la pièce en ajoutant des projections vidéo sur une toile placée devant les comédiens donnant l’impression aux spectateurs de regarder une toile en mouvement. De plus, une violoncelliste est sur place durant toute la durée du spectacle pour ajouter une couche d’émotion à cette pièce touchante et déstabilisante..." Mathieu Caron, Petite Boîte

"Une mise en scène qui ne cesse de se construire à mesure qu’un tableau disparaît pour donner la place à un nouveau. Sur un superbe rideau blanc terne en forme d’écran, des collages de dessins de femmes nues aux contours biscornus défilent selon ce qui se passe sur scène. De temps à autres, une image vidéo montre le doux visage d’une jeune femme qui semble se perdre dans une profondeur abismale. Les comédiens jouent leurs rôles derrière le rideau...La séquence finale, très proche du cinéma, est d’une rare émotion dans sa forme et dans sa représentation. Elle oblige notre regard à voir quelque chose à laquelle nous ne sommes pas habitués. Les protagonistes, dirigés de main de maître, se déplacent comme si une caméra les filmait au ralenti..." Elie Castiel, Revue Sequences

 

 

Inhumanité et réflexions autour de Lulu – entrevue avec René Migliaccio, metteur en scène de la pièce Lulu  

http://www.montheatre.qc.ca/espace/?s=lulu

 

bottom of page